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La critique

« Des corps de femmes parfaits. Ses bronzes et ses terres cuites sont d’une délicatesse ensorcelante. Professeur d’histoire de l’art à la retraite, il est clair qu’il a su capter la technique des grands. Ses œuvres ont la grâce des préraphaëlites. »

Jean GAVILAN : Paris Match


« Halil Faïk est, avec ses bronzes et ses terres cuites, un adorateur inconditionnel de la femme, surtout dans sa jeunesse épanouie, et elle-même adoratrice de la nature, de sa chaleur et de son éclat. Mais comme il s’est choisi de ne pas aller au-delà d’une simple manifestation de la beauté, il peut se permettre de charger celle-ci d’émotions qui se marquent dan l’attitude, l’offrande, la sérénité de ses modèles.»

Wim TOEBOSCH : Arts-Antiques-Auctions


« Son monde est peuplé de charmantes créatures vues par le côté admiratif de la lorgnette. Elles sont jeunes, elles ont des gestes harmonieux et semblent s’incliner vers le visiteur pour le séduire. Bronzes et terres cuites ont un petit côté classique qui ne choquera que les râleurs de naissance. Précise, finement polie, raffinée jusqu’au moindre détail, la sculpture d’Halil Faïk se retrouve souvent à l’étalage d’antiquaires ou bijoutiers sans rien perdre de sa présence discrète mais forte. »

Anita NARDON : Bruxelles News


« Quand je pense à Halil, inévitablement je souris. C’est un homme dont les yeux sourient constamment. Ils sont vifs, pétillants et souriants … Le voilà sculptant, le cure-dent entre le pouce et l’index, le petit doigt en l’air avec plus de grâce qu’une lady anglaise dégustant son thé. [ Dans son oeuvre, ] le visage est essentiel, le reste presque du détail. J’aime ces détails : des corps de femmes exprimés avec cette beauté qui nourrit l’âme et avec un respect total. En y pensant, je souris à nouveau, du même sourire que celui qui remonte des profondeurs lorsque je contemple les fleurs. Merci Halil ! »

Philippe ULLENS : Soulfood présente


« Fluidité des formes, sensualité discrète des courbes et des volumes, délicatesse de traits et des regards. Rien n’est figé dans les silhouettes d’Halil Faïk : l’immobilité s’y inscrit dans le mouvement, à la manière d’un instantané. L’élégance et la grâce alternent avec la profondeur et l’intériorité, même si, parfois, une esquisse de sourire ou une teinte d’humour (Des fourmis plein les jambes) viennent éclairer une mélancolie plus présente. »

Jean-François HERBERT : Livre d’or 2009